Une ombre, un cri... Barnabé se réfugie chez lui. Mais Aglaé, elle, curieuse et courageuse, ne va se laisser impressionner et va partir à l'aventure.
Barnabé ignorait que les fourmis étaient costauds, que les loups étaient méchants, mais pas trop. Barnabé ignorait qu'il n'était pas seul dans la vallée, qu'Aglaé pourrait l'aider à démêler le faux du vrai. Si Barnabé avait su, jamais il n'aurait pensé que sa boîte était perdue, sa lumière fichue. Si Barnabé avait su, il n'aurait été effrayé par ce cri qui résonne, cette ombre qui impressionne. On peut tout imaginer... Mais Aglaé le sait, les apparences peuvent être trompeuses ! |